Entends-tu cette voix
Qui supplie et t’appelle
Quand doucement tu meurs
Et que tu n’es plus toi
C’est celle d’un cœur
Indomptable et rebelle
Qui se moque de tes peurs
Il chante la vie est belle
Au travers d’une fenêtre
Tu contemples tes rêves
Un avenir, des peut-être
Et un soleil se lève
Tu montes sur le rebord
Sans regrets, sans remords
Si tu restes c’est la mort
Si tu sautes tu es fort
Ouvre tes ailes, envole-toi
Le regard vers le ciel
Entends-tu cette voix
Qui supplie et t’appelle
Daniel Tahl
Tous droits réservés 2018
Texte extrait du roman “L’Homme à la tête de chat”
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