Article de JDBN (Journal des bonnes nouvelles)

https://www.jdbn.fr/voici-une-petite-idee-de-lecture-pour-bien-terminer-lannee-2019-et-commencer-2020-sur-de-bonnes-vibes/

 

 

 

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“l’Homme à la tête de chat” sur Sous le pavé, la plume…

Caresser la mort dans le sens du poil par Martine Rofinella

Dans son livre L’homme à la tête de chat, Daniel Tahl nous offre le récit d’un « guerrier revenu de l’enfer » et qui, au terme d’un parcours initiatique singulier, apprend à vivre dans « l’ultime vérité ».

« Elle et moi nous nous sommes aimés. J’étais le soleil de sa vie et elle mon univers tout entier » – et le narrateur de nous confier qu’être « le fils unique d’une femme autoritaire qui vous a désiré en dépit d’un départ prévisible du père » a fait de lui non seulement « un fils mais un roi ».

Dans ce récit que Daniel Tahl présente comme une histoire vraie, tout commence donc très bien, et « s’il existe un paradis », écrit-il, « je pense y avoir séjourné » – du moins jusqu’à l’entrée à l’école, où la souffrance provoquée par la « cruauté » des autres enfants lui donne un « avant-goût » de ce qu’il endurera plus tard.

« La haine m’étrangle lorsque je visualise ces enfants moches et menaçants qui me rackettaient dans la cour d’école et souillaient de leurs mains sales les précieux dons de ma déesse », nous explique Tahl, qui mettra « vingt-cinq ans pour comprendre leurs codes et leur mode de fonctionnement basique fondé sur les rapports de force ».

Ainsi commence l’apprentissage du « guerrier en devenir », qui doit « pouvoir sauter sans peur d’une falaise ». C’est « vers l’âge de dix-sept ans » que tout débute, à savoir l’expérience de la spiritualité, ce « voyage sans retour » qui transforme irrémédiablement notre vie, car « le tsunami dévastateur vient avec une lame de fond née des abysses de la conscience ».

La quête de Daniel Tahl sera jalonnée par plusieurs guides, dont le précieux Chinh, ami qui sait le percer « à nu » et planter en son âme « une petite aiguille indolore qui vous injecte une quantité infinitésimale de sérum divin ». Chinh lui enseigne qu’il faut déterminer « son destin en fonction de ses envies et non de ses peurs », l’invitant à vivre « la vie belle et héroïque qui n’appartient qu’à ceux qui sont prêts à tout risquer ».

Mais survient le « cataclysme ». La morsure d’un chat voulant jouer avec sa maîtresse provoque l’invraisemblable mort d’Anna, la mère adorée du narrateur, lequel rejoint bientôt une petite secte, échangeant ainsi sa « solitude contre [sa] liberté ».

C’est pourtant un leurre, et j’invite le lecteur à découvrir une à une les autres étapes cruciales qui conduiront Daniel Tahl à comprendre que « celui qui se rend capable de lâcher prise avec ses peurs à n’importe quel moment de sa vie est un guerrier invincible ».

Il faut « trancher la tête de l’hydre » aussi souvent que nécessaire jusqu’à ce qu’elle se taise « à jamais, impuissante et dominée par son maître ». Et l’on retient son souffle devant la somme des épreuves qui s’enchaînent, laissant le cœur du narrateur « se consumer », alors que son âme heurte « pour de bon le fond d’une mer de chagrin et de désespoir » dans laquelle il se noie.

La résurrection arrive pourtant – et nous n’en dirons pas plus sur la façon dont elle se produira puis s’agencera. Sachez simplement qu’un « fauve mystique », celui-là même qui a emporté Anna, sa mère et déesse, prendra désormais place sur l’épaule de Daniel Tahl, grâce à l’œuvre d’un sorcier tatoueur polynésien.

« La mort est un chat qu’il ne faut pas craindre mais caresser pour qu’il accepte qu’on le porte sur son épaule. »

Le livre, que l’on dévore puis savoure en retournant sur nos pas, nous donne de précieuses clefs pour nous « moquer de ce squelette habillé d’une cape et armé d’une faux », qui n’est plus un « épouvantail » mais une « puissante alliée » nous permettant de vivre dans « l’ultime vérité » – celle qui rend « invincible ».

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L’Homme à la tête de chat sur Sophie Songe

Daniel Tahl : Un voyage au bout de soi-même

Daniel a grandi auprès d’une mère ouverte à l’invisible, à la spiritualité. C’est à travers elle, et les rencontres fortuites qu’il fera, que se forge sa personnalité, qui se dessine son chemin…

Daniel Tahl livre ici le récit d’une expérience de vie. Étapes après étapes, son environnement l’oriente, le conditionne et le heurte à lui-même. Le parcours est énigmatique, jamais anecdotique, o combien, combatif.

Rien n’est laissé au hasard, de l’enfance bénie au questionnement de l’adolescence, aux épreuves de l’existence… Tantôt bohème, tantôt pragmatique : Daniel tend à conflictualiser, à essayer, ne jamais se résoudre pour accéder à une forme de liberté. Entre rites initiatiques, convictions, intuitions, formatage, il faudra aller à la source pour aller plus loin, à l’intérieur de lui-même.

L’écriture est poétique, philosophique, intime et touche à l’humain. On aime se sentir éprouvé par l’émotion, se perdre dans le dédale des multiples chemins. Daniel livre un message puissant, réaliste sur les choix, le courage, les rêves…

Il nous invite à harmoniser notre monde intérieur avec le milieu extérieur, s’extraire, rentrer en soi-même. Accéder à sa vérité et peut-être briller !

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“L’Homme à la tête de chat” sur l’émotive

L’HOMME À LA TÊTE DE CHAT, UN LIVRE PERSONNEL ET SPIRITUEL QUI INSPIRE NOTRE PROPRE VIE.

L’Homme à la Tête de Chat est un ouvrage de Daniel Tahl inspiré de son histoire personnelle où il croise la spiritualité à son quotidien. Daniel Tahl a grandi dans un paradis ensoleillé entouré d’une déesse comme il l’appelle, un appartement de 150 m2 en plein paris au côté de sa mère qui restera toujours pour lui un modèle de vie. Très tôt, il a mené une quête à la fois personnelle et spirituelle au cours de laquelle il a rencontré des guerriers qui l’ont guidés tout comme des dragons qu’il a combattus.

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“L’Homme à la tête de chat” sur mon bestseller

Portrait de livre : l’homme à la tête de chat

Il y a par delà l’attirance pour l’ésotérique et la quête d’un “accomplissement” , une écriture soignée chez Daniel Tahl.
Une écriture soignée, désabusée, fataliste aussi sur le fond et sur la forme. Il écrit ce qu’il pense être le destin : son destin.
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